28 December 2009 02:00
VIDEO: oops! Une érection trop visible à l'écran
Avoir une érection visible sous le pantalon. Pour certains, c'est flatteur. Je pense à Jean-Marie Bigard, ancien humoriste tombé sur la tête qui prêcha un fumeux « on nous cache tout » avant de disparaître des écrans de radar et de la gaité paillarde si prisée au pays de Gargantua.
Pour d'autres, selon l'endroit où l'on se trouve et le moment, c'est embarrassant. Surtout, lorsque le phénomène physiologique (et mental) incontrôlable, celui qui fait passer le pénis de l'état ridiculement inerte à la rigidité conquérante, se produit sur un plateau de télévision, qui plus est en direct.
Ce fut le cas d'un pauvre candidat de l'émission « X Factor », l'équivalent de notre « Nouvelle Star » en France, qui a démarré sa sixième saison la semaine dernière sur la chaîne britannique ITV. Steve, 50 ans, se présente devant le jury pour interpréter sa chanson et, malheureusement pour lui, on ne voyait que ça: le gros paquet sous son fute moule burnes de prolétaire... chaleureux mais, forcément, maladroit.
Son audition a tourné au naufrage en direct, d'autant que le réalisateur n'a pas lésiné sur les gros plans pour bien nous montrer la bosse sous le jean moulant. Ses filles en coulisses étaient mortes de honte, mais Steve chantait comme si de rien n'était sous les quolibets des membres du jury, lesquels ont fini par... l'éjecter avec un air de dégoût à vous faire détester les bourgeoises pour l'éternité.
C'est la tête de la brunette du jury qui pousse un « oh » de mépris lorsqu'elle constate l' « extravagance » qui suscite mon courroux. On dirait une vierge effarouchée à qui on offre pour son premier banana split... Alors que des bananes, elle a dû en (mettez le terme qui vous convient ici)… des régiments entiers.
Bref, le hasard faisant bien les choses, David Wilson, professeur de criminologie de l'université de Birmingham s'était prononcé il y a quelques jours contre « les dangers psychologiques » que représentent les auditions de « X Factor » sur les participants de cette émission de télé-réalité à succès.
Jetés en pâture devant un public bêlant, violemment critiqués et mêmes parfois humiliés (comme le cas de Steve et de son érection impromptue largement exploitée par la production), ces candidats peuvent souffrir, plus tard, de dégâts psychologiques profonds auxquels le jury et la production réunis n'accordent aucune attention, explique le spécialiste, tant leur principale préoccupation reste l'audience à tout prix. Surtout celui payé par les candidats à leur insu et contre leur propre volonté.
Ce qui réveille en moi un air de chanson tombé en désuétude... mais qui jadis donna leur fierté aux prolétaires (classe de dinosaures exploitée puis disparue, remplacée par les bataillons d'intérimaires, les demandeurs d'emploi, Rmistes… toujours exploités pendant qu'au PS on se chamaille sur qui va être le chef et que Ségolène fait des gnagnagnère à Martine)...
Souvenez-vous, ça doit vous dire quelque chose :
Debout! les damnés de la terre! Debout! les forçats de la téloche de merde!
Combien de nos chairs se repaissent!
Mais, si les corbeaux, les vautours,
Un de ces matins, disparaissent,
La télé intelligente brillera toujours!
C'est la lutte finaaaaaaaaale !
Groupons-nous, et tralalalère..
27 December 2009 03:00
VIDEO: Le oops du sein qui s'en va
Le oops de seins est quasi inévitable pour une femme qui porte un soutien-gorge sans bretelles mettant en valeur un décolleté pigeonnant. Une marque de lingerie qui s'est spécialisée dans le push-up affirme avoir déniché la solution à ce désagrément
Quelle femme portant un soutien-gorge sans bretelles n'a pas eu à se plaindre du manque de maintien que représente ce type de lingerie et des risques répétitifs de oops de seins qui quittent le navire au moindre mouvement impromptu? Les mariées, en particulier, dans leur robe de mariage au poids conséquent et qui tire vers le bas, savent de quoi je parle.
Et bien, la marque Wonderbra qui s'est spécialisée dans le domaine du push-up pour décolleté pigeonnant prétend désormais avoir trouvé la solution à ce type de désagréments grâce son nouveau modèle, le Wonderbra Ultimate Strapless bra. Dans sa communication, la marque dit avoir consacré deux ans de recherches en laboratoire pour inventer le soutien-gorge sans bretelles qui ne glisse pas, ne bouge pas et ne se balade pas.
Le secret ? Une armature spéciale intégrée aux bonnets en forme de mains à quatre doigts. «Le soutien-gorge a été dessiné pour imiter à la perfection le geste de la femme lorsqu'elle soulève ses seins de ses propres mains», nous explique-t-on. Seule certitude, le prix de ce soutien-gorge : 32 euros.
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